La prévoyance privée en Suisse est plus qu’un simple choix financier, c’est une réponse aux inquiétudes grandissantes concernant la sécurité des revenus à la retraite. Les Suisses ont montré une tendance croissante à privilégier l’autonomie dans la gestion de leur avenir, en complétant les prestations des systèmes de prévoyance publics par des épargnes personnelles. Découvrez alors son impact au Suisse
L’éveil de la conscience prévoyante en Suisse
Les Suisses ont toujours eu une approche pragmatique face à leur avenir. Dans un contexte où la démographie évolue et l’âge de la retraite se situe autour de 65 ans pour les hommes et 64 ans pour les femmes, l’attention portée à la prévoyance privée a pris une ampleur considérable.
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La responsabilité individuelle prend ainsi le devant de la scène, avec plus de trois quarts des Suisses qui, en 2021, décident de prendre en main leur avenir financier plutôt que de s’en remettre entièrement aux piliers étatiques. Cette tendance s’explique notamment par une prise de conscience face à l’incertitude économique et la volonté de s’assurer un niveau de vie stable à l’âge de la vieillesse.
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Le 3e pilier de la prévoyance en Suisse, composante non obligatoire du système, séduit de plus en plus par son aspect sécurisant et sa flexibilité. Les Suisses, principalement ceux de la région alémanique et de catégories d’âge plus élevées, se tournent vers des institutions de prévoyance pour y souscrire des contrats qui leur permettront de compléter efficacement les prestations du 1er et 2e pilier.
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La préférence pour la prévoyance professionnelle
En matière de prévoyance, la préférence des Suisses va indéniablement vers la prévoyance professionnelle, ou 2e pilier, alimentée par les cotisations des caisses de pension des employeurs. Cette forme d’épargne représente un véritable pilier dans la construction de leur avenir financier, puisqu’elle est perçue comme plus robuste et fiable, surtout en temps de crise.
La confiance dans le 3e pilier – la prevoyance privée – a également connu une hausse notable. Cela s’explique par la récente crise sanitaire qui a provoqué chez de nombreux Suisses une remise en question des plans pour leur vieillesse. Face à la volatilité des marchés et aux incertitudes professionnelles, ils ont pris conscience de l’importance d’avoir un plan d’épargne flexible et solide en parallèle de la prévoyance étatique.